La bibliothèque

Le 12 octobre 2006, nous avons inauguré notre nouvelle bibliothèque en présence de l’écrivain belge Bernard Tirtiaux, auteur entre autres du Passeur de lumière, des Sept couleurs du vent et de Pitié pour le mal.
Après avoir « symboliquement » coupé le ruban, l’écrivain a partagé avec nous le verre de l’amitié et nous a accordé une séance de dédicaces.

La bibliothèque s’étend sur deux niveaux : au premier, une salle de travail et de consultation, au second une mezzanine transformée en salle de lecture.
Les rayonnages comportent près de 8000 volumes et revues. Les ouvrages sont classés par catégorie. Chaque volume possède une cote qui permet d’identifier la catégorie à laquelle il appartient. Pour chaque catégorie, les ouvrages sont classés par ordre alphabétique en fonction du nom de l’auteur et du titre.
Un angle de la bibliothèque abrite des ouvrages de philosophie, psychologie et religion. Suivent les sciences, les arts, l’histoire et la géographie. A l’angle opposé, on retrouve tous les ouvrages qui concernent la littérature (histoire littéraire, poésie, théâtre, romans, littérature de jeunesse). Un plan de la bibliothèque permet à l’élève d’accéder facilement à l’ouvrage qu’il recherche.
Des ordinateurs sont mis à la disposition des élèves afin qu’ils puissent consulter le catalogue informatique de l’école qui les renseigne sur les ouvrages dont dispose la bibliothèque.

La bibliothèque vous accueille
Heures d’ouverture pour les élèves

• lundi, mardi et jeudi de 9h30 à 17h00
• mercredi de 8h30 à 14h00
• vendredi de 9h30 à 16h00

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Les salles multimédia

2 salles équipées d’ordinateurs sont à disposition des élèves. Les ordinateurs sont tous reliés en réseau et à ‘une imprimante laser. Les salles disposent d’un projecteur et de son tableau.

L’une de ces salles est dédiée à la création graphique et dispose en plus d’une imprimante grand format et de plusieurs scanners. Les ordinateurs sont équipés des programmes de qualité professionnelle pour la création graphique et la conception assistée par ordinateur en 2 et 3 dimensions.

Les élèves ont aussi accès à des programmes généralistes tels que traitement de texte, tableur, création de présentations, retouche d’images et navigateur internet. Plusieurs autres programmes plus spécifiques sont également présents, en général en lien avec un cours, comme Géogébra en mathématiques, ou divers programmes de simulation en sciences.

De nombreux autres locaux multimédia sont équipés de tableaux interactifs et de projecteurs.

Les professeurs ont également accès à des ordinateurs et projecteurs portables pour animer leurs cours en classe.

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La chapelle

Historique anecdotique de la chapelle. La première pierre de cet édifice fut posée le 5 juin 1929. Le coq coiffant la flèche fut installé en mars 1930. Monseigneur Suenens consacre la chapelle le 28 juin 1959. C’est un bâtiment de style néo-gothique.

Quelques petites remarques…

Sa taille
Quelle imposante chapelle pour une école assez modeste aux alentours des années 30 ( 400 élèves au maximum) !
La raison en est cocasse. A cette époque l’Ordre avait prévu la construction de deux chapelles en Belgique. Une petite (celle destinée à la Sagesse) et une grande (destinée à un hôpital). Pour une raison inconnue, il y eut une inversion des plans. Lorsque l’on s’en aperçut, les travaux avaient débuté et il était trop tard pour faire marche arrière. La Sagesse a donc hérité de la plus grande des deux chapelles, clairement disproportionnée par rapport à ses besoins. Mais imaginez la situation de ceux qui se sont vus octroyer la plus petite…

Son style
Le choix des architectes et surtout de leurs commanditaires, les Filles de la Sagesse, s’était porté sur le néo-gothique. Tout d’abord car le Moyen Age était en vogue en ce début de XXème siècle pour les bâtiments civils et religieux. Le Roi Léopold II, initiateur du plan urbanistique du plateau du Sippelberg de Ganshoren et de la partie Nord de Koekelberg, avait imaginé la Basilique du Sacré Cœur en style néo-gothique. A la mort de celui-ci, les plans initiaux évoluèrent vers de l’art-déco/byzantin. Normalement, il aurait donc dû y avoir une similitude de style entre ces bâtiments.

Son coq
Paradoxalement, il n’y a plus de coq coiffant la flèche.de cet édifice religieux. Il fut descendu en 1979. Mais de façon symbolique, il avait déjà subi ce sort durant la Seconde Guerre Mondiale quand il hérita de balles perdues.
La grande histoire est souvent faite d’une somme de petites histoires.